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  • Laïcité et période festive dans les soins

    "Arrivée la fin de l’année l’établissement de santé où j’exerce, lieu de la prise en soin de l’accompagnement de l’enfant et de l’adulte polyhandicapé, célèbrent ces fêtes traditionnelles d’année en année. Au nom de quel principe, pourrions-nous priver de ce bonheur festif la personne en situation de polyhandicap ?"

    Publié le : 08/01/2016 | Auteur : Elisabeth Grimont-Rolland , Chef de service rééducation pédiatrique, Hôpital San Salvadour, AP-HP

  • L’éthique du soin au cœur des petites choses

    "Ces petites choses, comme ils nous disent, on les dit petites car elles sont non visibles, non mesurables. On parle de choses, car elles ne sont pas nommées, elles ne sont pas prescrites. C’est un geste, une parole, un silence, un sourire, une présence… Ce qui permet au patient de se sentir propre, de se sentir vivant, de se reconnaître, de garder confiance…"

    Publié le : 20/02/2014 | Auteur : Marie-Claude Vallejo , Cadre de santé, CHU de Toulouse, doctorante au Département de recherche éthique, université Paris Sud, auteure de Une approche philosophique du soin. L’éthique au cœur des petites choses, éditions érès

  • La transgression, la norme, l'éthique

    "Le véritable enfermement sur soi vient davantage d’un sentiment d’insularité, né de l’incompréhension assez générale que semble susciter notre soudaine chute dans la maladie chronique ; né, plus encore que de son constat, de la peur qu’engendre en nous cette incompréhension, qui nous fait sans doute exagérer son importance."

    Publié le : 07/04/2014 | Auteur : Philippe Barrier , Professeur de philosophie, Lauréat de l'Académie de Médecine, docteur en sciences de l’éducation, enseignant associé au Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • La longue quête de l’impossible autonomie

    "De l’enfant au vieillard en passant par le handicapé, le seul mot d’ordre de nos jours semble être de (re)devenir autonome, c’est-à-dire de ne plus dépendre des autres. Injonction pour le moins paradoxale dans la mesure où l’indépendance totale est à l’évidence une fiction. Fût-elle même possible qu’elle ne serait guère désirable, car qui voudrait réellement vivre comme s’il était seul au monde ?"

    Publié le : 06/11/2009 | Auteur : Yannis Constantinidès , Professeur agrégé et docteur en philosophie

  • Les servitudes du droit de savoir - Autour du diagnostic présymptomatique

    Si le droit de savoir est aujourd'hui reconnu et accepté, sinon valorisé, ce désir ne va pas de soi et implique parfois une véritable servitude à la connaissance.

    Publié le : 15/10/2013 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • Annoncer la mauvaise nouvelle - Apport transculturel

    Dans le milieu traditionnel africain noir, la nouvelle grave est située dans la graduation de la souffrance du patient. L’évolution de la maladie, lorsqu’elle atteint un certain degré de gravité, alerte la communauté, en exige la présence. Cette présence s’accomplit selon une échelle de responsabilités réparties au sein du groupe. Mais qu’est-ce qu’une mauvaise nouvelle ?

    Publié le : 27/09/2013 | Auteur : Didier Ouédraogo , Professeur de philosophie, master Éthique, science, santé et société, Département de recherche en éthique, université Paris-Sud 11

  • Approche transculturelle de l'éthique biomédicale

    Il existe, d'emblée, un déséquilibre entre le soignant détenteur du pouvoir biomédical, et le soigné amoindri par sa maladie. L'appartenance du patient à une culture différente de celle de son soignant est de nature à apporter une distorsion supplémentaire à leur relation, voire à majorer le déséquilibre de puissance entre les deux parties.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Ali Chadly , Chef de service de médecine légale, droit et éthique de la médecine, hôpital universitaire de Fattouma Bourguiba, Monastir, Tunisie

  • Confronté à l’annonce du handicap

    "Lorsque la pathologie vient briser l'espoir de perfection que l’enfant représentait (on ne veut plus « un » enfant mais « tel » enfant), celle-ci apparaît comme une limitation insupportable. Elle vient affirmer douloureusement une différence et une dévalorisation. La culpabilité qui en naît peut générer les comportements les plus divers et contradictoires."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Joëlle Janse-Marec , Médecin

  • Reconnaître l’autre

    Publié le : 12/06/2009 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Grands prématurés : enjeux éthiques de la décision en néonatologie

    "Doit-on laisser mourir les enfants nés très prématurément, sous prétexte qu'ils ont un risque de survivre handicapé ? Une telle abstention ne s'apparente-t-elle pas à un meurtre par omission ? Et si l'on fait ce choix, comment définir le niveau de risque, le niveau de handicap qui, a priori, autoriserait de ne rien tenter pour sauver ces nouveau-nés ? Peut-on laisser survivre malgré tout ces enfants, ou doit-on arrêter les soins qui leur sont prodigués, c'est-à-dire arrêter leur vie ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michel Dehan , Chef de service de pédiatrie et de réanimation néonatale, hôpital Antoine-Béclère, AP-HP

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