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  • L’Université d’été 2017 : partager les savoirs et les expériences au cœur du politique

    Du 11 au 13 septembre 2017, L’Espace éthique organise à Lyon sa 7ème Université d’été Éthique, Alzheimer et maladie neuro-dégénératives. Retour sur l’événement avec Emmanuel Hirsch, Directeur de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France et de l’Espace national éthique maladies neuro-dégénératives.

    Publié le : 29/06/2017 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Le sens du soin auprès des malades Alzheimer

    "Dans la confrontation avec la maladie d’Alzheimer le problème du sens prend une dimension ontologique, vitale. Pour le mari qui ne comprend ni où il se trouve, ni pourquoi il est là avec sa valise. Pour l’épouse épuisée, prise dans des conflits de loyauté et qui ne comprend pas pourquoi son mari n’a plus figure humaine. "

    Publié le : 18/12/2015 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

  • Maladie d'Alzheimer, créer un environnement de confiance

    "Quand la maladie met à l’épreuve la confiance en ses multiples points de fixation (confiance en soi, en son corps, en autrui, en la médecine, en la science…) comment faire vivre concrètement cette confiance, l’espérance, la foi et l’espoir tant pour la personne elle-même, que pour ses proches et pour les professionnels qui l’accompagnent dans un environnement de proximité ?"

    Publié le : 18/09/2015 | Auteur : Anne Caron Déglise , Magistrat, Avocat général à la Cour de cassation

  • Alzheimer : entre protection de la personne et respect de sa liberté

    "Doit-on protéger au risque d’entraver ? Doit-on laisser sans soins celui qui du fait d’une démence ou d’un trouble psychiatrique s’y oppose ? Doit-on laisser libre d’errer celui qui déambule ou le maintenir en contention ? Peut-on et doit-on consentir pour autrui quand celui-ci n’est plus capable de discernement?"

    Publié le : 28/09/2015 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

  • La personne malade et son entourage : anticiper, faire face au quotidien dans la durée

    "Vivre cette maladie, c’est aussi éprouver les risques pour le couple et conjurer ce risque : « la maladie nous a détruits, mais elle ne détruira pas notre couple ! » Comment rester le conjoint quand l’essentiel des gestes sont ceux d’un soignant ?"

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • Maladie d'Alzheimer : Engagements de loyauté et serments du passé

    "La réflexion éthique nous permet de poser en d’autres termes la question de ces loyautés présentes et passées, du malade face à lui-même, au sein d’une famille et d’une histoire, sous le regard aussi des soignants et du corps social. Le malade, plus tout à fait le même et pourtant pas tout à fait un autre…"

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans

  • Les proches, inconditionnelle présence en toutes circonstances

    "Qui réunit les différentes données financières, patrimoine, revenus, et le certificat du médecin agréé, exigés afin d'obtenir pour son proche malade victime de plusieurs escroqueries, la protection de la justice ? Quel est l'engagement de la société pour permettre, en l'absence d'une famille très présente, à toutes les personnes malades, de bénéficier de cet accompagnement de "bonnes pratiques" ? "

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • S’adapter en couple à la maladie d’Alzheimer : risques et enjeux

    "Le risque, avec la survenue de la maladie et la cascade de changements qu’elle entraîne, est de voir l’entité « couple » devenir un édifice branlant qui insécurise les deux partenaires. Réduire ce risque implique pour le proche de discerner, d’une part, ce qui relève de l’aide rendue nécessaire par la maladie et, d’autre part, de l’apaisement de ses propres angoisses. Le défi est de taille."

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • L’annonce du décès d’un proche en institution

    "Une femme de 85 ans déambule toute la journée, en parlant peu et souvent dans un jargon peu compréhensible. À l'annonce du décès de son mari (qu'elle voyait peu), elle prend toute la mesure de ce qui lui est dit, pose des questions adaptées sur les circonstances du décès (malgré ses troubles phasiques), nous remercie de ce qui est dit. Elle reprend ensuite sa déambulation sans que l'on sache ce qui reste de l'information."

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Jean-Luc Noël , Psychologue Clinicien, Paris, Co-président du conseil scientifique de l’association Old Up, Psychologue référent de l’association ISATIS

  • Refus de soins : de la confrontation à la négociation

    "Pour préserver une identité fragilisée par l’âge et/ou la maladie, certaines personnes préfèrent refuser tous les éléments qui pourraient révéler une dépendance. Face à ce type de refus, la sécurisation de la personne dans son identité, par la reconnaissance de ce qu’elle est en tant que personne et non en tant que « malade », peut alors faciliter son acceptation. À l’inverse, la confrontation frontale d’un soignant tentant de convaincre de son expertise ne pourra qu’aggraver la situation."

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Aline Corvol , Gériatre, CHU de Rennes

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