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  • L’éthique du soulagement de la souffrance

    Deuxième épisode du parcours de réflexion « Fin de vie, éthique et société » proposé par l’Espace éthique Île-de-France

    Publié le : 22/02/2023 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • Fin de vie : les termes du débat

    Premier épisode du parcours de réflexion « Fin de vie, éthique et société » proposé par l’Espace éthique Île-de-France

    Publié le : 09/02/2023 | Auteur : Virginie Ponelle , Co-directrice de l'Espace éthique/IDF / Nicolas Castoldi , Co-directeur de l'Espace éthique/IDF / Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • Réanimateurs, nous nous engageons pour un débat sur la fin de vie sans caricature ni banalisation

    "Au-delà des choix individuels et de situations exceptionnelles, la question posée est forcément collective et engage notre société toute entière dans son rapport à sa propre finitude mais aussi au monde soignant. Chacun doit réfléchir à ce qui peut faire sens pour tous. Au terme du débat citoyen, le dernier mot appartiendra au Parlement. La liberté individuelle de mettre fin à mes jours impose-t-elle que le droit à la vie s’accompagne d’un droit à être assisté d’un tiers pour se donner la mort ?"

    Publié le : 16/11/2022 | Auteur : Matthieu Le Dorze , Anesthésiste-réanimateur, Hôpital Lariboisière, APHP / Pierre-Francois Perrigault , Médecin Anesthésiste-Réanimateur, Centre Hospitalo-universitaire de Montpellier

  • L’euthanasie, mort solitaire ou solidaire?

    Cet article est tiré d'une intervention donnée dans le cadre des États généraux de la bioéthique

    Publié le : 03/05/2018 | Auteur : Anne-Laure Brison , Infirmière en soins palliatifs

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Tu ne tueras pas, ou « de la fraternité à la sollicitude »

    "Et c’est ainsi que des êtres humains, insensibles au visage d’autrui, à la chair d’autrui, minéralisés dans leur haine, ont brisé des vies humaines, des couples, des familles, des amis mais aussi tout le peuple des humains qui en France et dans le monde en a été bouleversé. De tels actes déchirent l’humanité et la rassemblent dans la souffrance."

    Publié le : 06/01/2016 | Auteur : Roger Gil , Professeur émérite de neurologie, Directeur de l’Espace éthique de Poitou-Charentes, CHU de Poitiers

  • Vincent et les autres, souvenirs d'un médecin

    "Les jeunes apprentis médecins que nous étions en 1964 n’aimions pas beaucoup être affectés dans le service, et ce pour une raison simple : ces comateux n’étaient pour ainsi dire jamais malades (quelque fois une diarrhée ou un début de bronchite, sans plus). Or l’ambition d’un carabin, c’est justement [d'apporter] la preuve de notre capacité médicale en formation. Cependant la question ne se posait pas d’arrêter les soins de nursing et la nutrition, car il était évident pour tous que ces comateux étaient des « vivants »."

    Publié le : 24/07/2015 | Auteur : Patrick Defontaine , Médecin retraité, Épinac (71360), spécialiste en anesthésie-réanimation et toxicologie clinique

  • Assistance médicale au suicide : quelle position pour le psychiatre ?

    "Comme il est du devoir de n’importe quel médecin de soulager, il est du devoir du psychiatre de reconnaître la dépression et de la traiter pour soulager son patient."

    Publié le : 05/02/2015 | Auteur : Françoise Chastang , Psychiatre, CHU Côte de Nacre, Caen, Espace de réflexion éthique de Basse-Normandie, EA 1610, université Paris Sud / Michel Walter , Professeur des universités, psychiatre, CHU, Brest / Cécile Omnes , Psychiatre, Centre hospitalier Charcot, Plaisir (78), Groupement d’études et de prévention du suicide (GEPS) / Jacques Vedrinne , Psychiatre, université de Lyon

  • Fin de vie des AVC graves : peut-on décider du handicap inacceptable ?

    "Peut-on définir ce qu’est un pronostic neurologique « catastrophique » ou un handicap « inacceptable » ? Comment décider, au-delà de l’incertitude pronostique, si la qualité de vie prédite pourrait être compatible avec les valeurs et les souhaits éventuels du patient ?"

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Sophie Crozier , Neurologue, praticien hospitalier, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

  • Les conditions d’une fin de vie digne et apaisée

    "À côté de la mort redoutée, l’indifférence à la mort est plus rare. Dans notre jargon, c’est le syndrome de « glissement » : des personnes souvent âgées et seules ont décidé de se laisser mourir, en opposant une passivité totale aux agressions des maladies et des traitements."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Laurent Beaugerie , Gastro-entérologue, Praticien Hospitalier à l’AP-HP, Professeur des Universités à Paris 6, membre du Conseil National des Universités et vice-président de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie

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