Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 121 à 130 sur un total de 227.
  • Prélèvements Maastricht III : a-t-on été véritablement attentifs aux enjeux éthiques ?

    "Comment ne pas douter de l’impartialité d’une décision d’arrêt des thérapeutiques actives quand dans le même temps un prélèvement d’organes est proposé aux proches ? Comment demander à un médecin d’être objectif au moment de prendre une telle décision ? Il serait utopique de croire que la séparation des équipes de réanimation et de prélèvements serait un gage suffisant d’objectivité."

    Publié le : 03/12/2014 | Auteur : Arié Attias , Médecin, réanimation chirurgicale polyvalente, Département d’anesthésie-réanimation, Hôpitaux universitaires Henri Mondor, AP-HP

  • Les directives anticipées : une figure de la culture du narcissisme... sans application éthique

    "L'idéologie narcissique du sujet ministre de sa mort suscite l'effroi de la conscience, parce qu'elle enveloppe de son abstraction grise les innombrables reliefs d'une personnalité, d'une vie, d'une souffrance qui, si elles se laissent appréhender sous le regard d'autrui, répugnent à se prendre elles-mêmes pour objet."

    Publié le : 05/01/2015 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Fin de vie : chaque mot peut donner à une loi un sens irréversible

    "Au lieu de questionner les pratiques médicales concernant la fin de vie et enjoindre les médecins à s’améliorer, tout en leur donnant les moyens adaptés, le politique a organisé un débat citoyen sur la fin de vie : « que souhaitez-vous de ces médecins qui s’occupent mal de vous » ? Examinons plutôt la cause essentielle du malaise."

    Publié le : 12/01/2015 | Auteur : Serge Duperret , Praticien hospitalier, Service de réanimation chirurgicale, HCL, Lyon, docteur en éthique, Université Paris-Sud - Paris-Saclay

  • Dormez, je le veux !

    "Du point de vue médical, d’où vient qu’une mort apaisée est une mort choisie et maitrisée ? D’où vient qu’une bonne mort est une mort accélérée ? D’ou vient qu’une mort endormie est une mort préférable ? D’où vient que la sédation est un sommeil ? D’ou vient que l’euthanasie et le suicide assisté sont de tels tabous qu’il faille nécessairement les intégrer à la médecine alors que leur raison d’être en est une parfaite contradiction ?"

    Publié le : 19/01/2015 | Auteur : Sylvain Pourchet , Médecin (Paris), ancien responsable de l’unité de soins palliatifs de l’hôpital Paul Brousse (AP-HP) et du Diplôme Universitaire d’accompagnement et soins palliatifs de l’université Paris Sud

  • La sédation n’est pas un remède miracle

    Communication à l’audition publique organisée par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, le 20 janvier 2015.

    Publié le : 02/02/2015 | Auteur : Patrick Verspieren , Père jésuite, Centre Sèvres, Paris

  • Faut-il transformer les unités de soins en « dormoirs » ?

    La proposition de loi Claeys-Leonetti, en proposant « une sédation profonde et continue (…) jusqu’au décès associée à une analgésie et à l’arrêt de l’ensemble des traitements de maintien en vie » à « la demande du patient d’éviter toute souffrance et de ne pas prolonger inutilement sa vie » crée un droit-créance. En cela, elle reflète parfaitement la postmodernité occidentale, avec sa tendance à réifier la personne et à utiliser chacun « comme un moyen et non toujours comme une fin ».

    Publié le : 02/03/2015 | Auteur : Clémence Joly , Médecin, responsable de l’unité de soins palliatifs, Centre hospitalier de Pont Audemer (Eure)

  • Valeurs du soin et fin de vie : mise en danger et compétence soignante

    "Se battre ne va pas de gaité de cœur, mais il y a des ”guerres justes”. Autrefois, il y a bien longtemps le soignant et le médecin étaient comme désignés par leur vocation. « Il a la vocation », pouvait faire office de diplôme. De nos jours, le dévouement, la relation d’aide doivent nous suffire et convenir au patient. « On est là pour ça ? » Exprime-t-on l’acquiescement ou la résignation ? Le ”ça” interroge-t-il encore assez la raison ”d’être soignant” ?"

    Publié le : 11/03/2015 | Auteur : Nicole Pélicier , Psychiatre, Hôpital européen Georges Pompidou, AP-HP

  • Un détail de taille : la bientraitance

    Intervention du mardi 3 février 2015 au Forum de bioéthique, Strasbourg

    Publié le : 25/03/2015

  • Ne pas trahir les valeurs du don d’organes !

    Éditorial d'opinion et d'analyse autour de l'amendement Touraine/Delaunay qui propose de ne plus recueillir auprès des familles la position du défunt qui n’aurait pas exprimé son refus d’un prélèvement sur le registre national automatisé.

    Publié le : 31/03/2015 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • « Infirmiers sentinelles » : une conception éthique du soin en fin de vie

    "La sédation discontinue, indispensable et nécessaire dans bien des situations, est ce contrat de confiance passé entre le médecin et son patient. Le patient remet, au sens premier du terme, sa vie entre les mains de son médecin. "

    Publié le : 13/04/2015 | Auteur : Laurence Henry , Infirmière anesthésiste, groupe hospitalier Paris Saint-Joseph

  • Pages