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  • Malades de tous les pays, unissez-vous

    Vingt millions de Français souffrent de maladies chroniques qui étaient autrefois mortelles à court terme, mais qui ne se guérissent toujours pas. Diabète, asthme, maladie de Parkinson, maladies psychiatriques, ou encore maladie d'Alzheimer nécessitent aujourd’hui de développer un art de vivre avec la maladie. C’est dans ce contexte que se développent les associations et communautés de malades, ainsi que les projets comme le village Alzheimer, actuellement en construction à Dax. Peut-on penser une vie et une communauté politique construites autour du seul critère de la maladie ? Cette question était au cœur du dialogue qui s’est tenu le 15 mai 2017 entre Paul-Loup Weil-Dubuc, chercheur en philosophie morale et politique à l’Espace éthique Île-de-France, et Catherine Dufour, auteur de romans et de nouvelles de science-fiction.

    Publié le : 19/07/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Rapport du Groupe de travail : « Les initiatives du changement des pratiques des professionnels de santé favorables à la démocratie en santé »

    Un rapport conçu pour dresser uné tat des lieux des intiaitives en démocratie en santé et proposer une cartographie des différents leviers et enjeux.

    Publié le : 05/05/2017 | Auteur : Institut pour la démocratie en santé

  • Vulnérabilité et fin de vie - Un an après la loi du 2 février 2016

    "La relation a priori asymétrique entre les soignants et le patient vulnérable en fin de vie ne doit pas évoluer vers un paternalisme contradictoire au respect de l’autonomie de la personne. Toutefois en ce domaine si singulier, si personnel, se prémunir de tout systématisme s’avère impératif."

    Publié le : 25/04/2017 | Auteur : Louis Malachane , Interne, Espace éthique Île-de-France

  • Rappot annuel de l’Observatoire de la laïcité 2016-2017

    L’Observatoire de la laïcité a adopté son rapport annuel, le quatrième depuis son installation par le Président de la République le 8 avril 2013.

    Publié le : 06/04/2017 | Auteur : Observatoire de la laïcité

  • Synthèse des Assises nationales Valeurs de la république, du bien commun et de l’engagement

    Le 13 mars 2017, se sont tenues au Sénat les 1ères Assises nationales sur les valeurs de la République, du bien commun et de l’engagement, avec pour objectif de donner la parole à toutes les personnes engagées dans la construction d’une alliance vertueuse entre le soin et la République. Cette construction renvoie à des valeurs qui s’expriment dans des univers aussi divers que ceux de la médecine, la justice, la sécurité nationale, la protection sociale ou l’éducation. La diversité des acteurs, ceux qui sont dans l’engagement et ceux qui font vivre la réflexion théorique, résonne donc dans la pluralité et la conflictualité des pratiques, comme en ont témoigné les nombreux invités qui ont accepté d’en débattre dans le cadre de cette journée.

    Publié le : 29/03/2017 | Auteur : Sylvie Favier , Journaliste santé / Espace éthique/IDF

  • Entrée en vigueur du "droit à l'oubli" pour les anciens malades

    Les nouveaux droits relevant du "droit à l'oubli" sont entrés en vigueur le mardi 14 février 2017, avec la mise en application du décret du 13 février précisant les modalités d'information des candidats à l'assurance-emprunteur lorsqu'ils présentent du fait de leur état de santé ou de leur handicap un risque aggravé.

    Publié le : 16/02/2017 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Penser ensemble les valeurs engagées de nos institutions

    "La démarche que nous proposons vise à susciter - ou du moins à aviver - une dynamique de la réflexion partagée. Elle est devenue indispensable à l’heure où la médicalisation ou « l’institutionnalisation », souvent par défaut, de questions de société tout autant qu’une approche essentiellement gestionnaire des choix, pourraient inciter à se désapproprier de la culture du soin comme de celle de l’accompagnement, et ce faisant à déserter le champ des valeurs et à renoncer aux responsabilités dont il nous faut être les garants."

    Publié le : 15/02/2017 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Une fois encore, un infirmier s’est suicidé : les valeurs du soin doivent être reconnues

    Dans la nuit du 5 au 6 février 2017, un infirmier s’est suicidé à l’Hôpital européen Georges Pompidou.

    Publié le : 09/02/2017 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • Les dispositions réglementaires d'application de la loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie

    Deux décrets du 3 août 2016 définissent les modalités d'application de la loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie. Ils encadrent les décisions médicales en fin de vie relatives aux arrêts de traitement et à la sédation profonde et continue jusqu'au décès. Le contenu, la durée, la portée et les modes de conservation des directives anticipées font l'objet de nouvelles règles. Les décisions d'arrêt de traitement et de sédation profonde et continue jusqu'au décès obéissent aux mêmes procédures de collégialité. La formation des professionnels de santé à ces nouvelles dispositions et une large information seront essentielles pour garantir une bonne application de ces textes.

    Publié le : 06/01/2017 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

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