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  • Vers une pratique médicale 100% à la carte ?

    Naturopathie, phytothérapie, acupuncture, hypnose, ostéopathie, homéopathie… Les médecines non-conventionnelles sont de plus en plus utilisées dans les soins, comme pratiques préventives ou curatives. Au-delà de leur reconnaissance et de leur encadrement, pourrions-nous imaginer une pratique médicale entièrement à la carte ? Cette question était au cœur du dialogue qui s'est tenu, le 15 mars, entre Alexia Jolivet, responsable de l’Observatoire de l’Espace éthique Île-de-France et maître de conférence en Sciences de l’Information et de la Communication, et Albert Ogien, directeur de recherches au CNRS et directeur de l’Institut Marcel Mauss de l’EHESS.

    Publié le : 19/07/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Le tout-médicament est-il une fatalité ?

    Dans sa campagne « Les médicaments, c’est pas n’importe comment… », L’Assurance maladie d’Alsace affirme que « 150 000 personnes se rendent malades tous les ans avec les médicaments ». De plus en plus de patients font chorus avec les campagnes de santé publique et les acteurs politiques pour dire que le tout-médicament n’est plus la solution. Malgré cette prise de conscience, la surconsommation de médicament reste la règle en France, apportant son lot de mésusages des traitements médicaux parfois accompagnés d’effets indésirables. Le tout-médicament est-il une fatalité en France ou peut-on inventer un autre modèle de médication ? Cette question était au cœur du dialogue qui s'est tenu le 24 avril 2017 entre Sebastian J. Moser, chercheur en sociologie à l’Université Paris-Sud et à l’Espace éthique Île-de-France, et Anne Vega, anthropologue et ethnologue à l’université Paris Nanterre.

    Publié le : 19/07/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • La bioéthique n’a pas l’éthique qu’elle mérite

    Intervention donnée dans le cadre du workshop « Quelle gouvernance pour la bioéthique ? » organisé le 22 février 2018 dans le cadre des États généraux de la bioéthique

    Publié le : 05/03/2018 | Auteur : Mark Hunyadi , Professeur de philosophie, Université catholique de Louvain, Institut supérieur de philosophie

  • Adapter les soins, apprivoiser l’incertitude : un travail collégial et collaboratif

    "Les décisions prises au décours d’une procédure collégiale ne préjugent pas d’une évolution univoque : elles nécessitent adaptation et humilité."

    Publié le : 09/03/2017 | Auteur : Danièle Lafaye , Cadre de santé Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux / Sylvie Preuilh , Inifirmière Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux / Bernard Paternostre , Médecin Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux

  • Récit d’une lutte pour un arrêt de dialyse

    "Ici, qu’il s’agisse du médecin traitant plutôt passif devant la demande mais surtout ignorant de ces questions ou des néphrologues refusant la discussion, aucun d’entre eux n’a été en mesure de délivrer au patient « une information loyale, claire et appropriée » prévue par l’article 35 du code de déontologie. En raison d’un déficit de formation ?"

    Publié le : 09/03/2017 | Auteur : Nathalie Nisenbaum , Médecin coordinateur en EHPAD, Paris

  • Enjeux des limitations et arrêts de traitements

    "Parfois, certains refus resteront inexpliqués, énigmatiques. Le médecin ne comprendra jamais et se demandera toujours ce qui a pu motiver ce refus, intimement convaincu qu’il y a quelque chose d’incompréhensible derrière cette posture d’un malade qui a décidé « de ne se donner aucune chance ». Et inversement, ce dernier ne comprenant pas l’attitude du médecin cherchant à le convaincre."

    Publié le : 10/03/2017 | Auteur : Pierre Basset , Médecin responsable de l’unité douleur et soins palliatifs, hôpital de Chambéry

  • Limitation de soins à l’épreuve des troubles cognitifs : un point de vue gériatrique

    [Les troubles cognitifs] vont perturber l’expression de la volonté éclairée du malade mais aussi entraver la compréhension des explications que les soignants pourront lui donner. Une évaluation gériatrique globale apparait donc comme un élément essentiel et préalable avant toute discussion avec le patient pour essayer de définir l’information qu’il va pouvoir comprendre, intégrer et dire.

    Publié le : 10/03/2017 | Auteur : Julien Berthaud , Praticien hospitalier, service de gériatrie, Hôpital de Provins / Antoine Lamarche , Gériatre, Hôpital de Provins

  • Une conversation avec Eric-Emmanuel Schmitt, sur l'éthique, la philosophie et leurs ressemblances

    "Ainsi, jouer avec la temporalité, n’est-ce pas choisir la fiction avec cette possibilité infiniment renouvelée d’appuyer sur la touche rewind comme savent le faire nombre d’auteurs plus séduits par la fiction que par la réalité ? N’est-ce pas le premier dénominateur commun avec des patients qui se réfugient dans la fiction du fait de leur pathologie ?"

    Publié le : 24/09/2017 | Auteur : Monique Charron , Rédactrice médicale et chroniqueuse culturelle

  • Inventer avec la personne malade, s’adapter au quotidien

    "L’objectif du collectif Dingdingdong qui s’est fondé en 2012 en tant qu’Institut de coproduction de savoir sur la maladie de Huntington est de créer avec les personnes concernées par cette maladie des savoirs pertinents qui changent la donne quant à la manière dont on peut la vivre, la ressentir, l’apprivoiser, en apportant un crédit tout aussi important à l’imaginaire et à l’art qu’aux savoirs médicaux."

    Publié le : 19/04/2016 | Auteur : Émilie Hermant , Ecrivain, psychologue clinicienne et directrice du collecitf DingDingDong

  • Demain, serons-nous tous considérés comme malades dès la naissance ?

    Avec le développement des diagnostics présymptomatiques, c’est l’angoisse ultime de l’hypocondriaque qui prend corps : une maladie qui se cache si bien dans les tréfonds de votre corps qu’elle s’y épanouit déjà sans émettre encore le moindre signe visible. Si bien qu’on pourrait dire que (virtuellement) un corps en bonne santé est déjà gravement malade. Et ce n’est pas de la science-fiction. Il est déjà possible de détecter une maladie génétique, comme certaines formes d’Alzheimer, de Parkinson ou de Creutzfeldt-Jakob, avant même l’apparition des premiers symptômes. Mais pouvons-nous vraiment généraliser ces prémisses et concevoir une maladie sans symptômes ? C’est le débat qui a eu lieu le 11 octobre 2016 entre les philosophes Paul-Loup Weil-Dubuc et Roberto Poma à l’occasion de la première séance du séminaire de l’Espace éthique Île-de-France « Anticiper le futur de la santé, un enjeu éthique ».

    Publié le : 02/11/2016 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

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