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  • Encadrer l’engagement : des limites subies aux limites réfléchies

    S’inspirant de son expérience comme infirmière à domicile, Catherine de Brabois pose simultanément la question de savoir jusqu’où l’engagement peut aller et jusqu’où il doit aller. Dans un contexte socioéconomique qui ne légitime plus que les activités tarifables et valorise surtout l’autonomie du patient, comment donner la possibilité au soignant de s’investir dans son activité de soin par-delà le simple geste dicté par le protocole ?

    Publié le : 01/03/2016 | Auteur : Catherine de Brabois , Directrice de SSIAD, Paris, doctorante, Espace éthique/IDF, université Paris Sud

  • Obstination déraisonnable, refus de soins : poser des limites

    "La qualité de la fin de la vie à domicile dépendra en grande partie de cette capacité à faire face à la réalité, à la recevoir et à s’y adapter. C’est aussi accepter le risque et lâcher prise."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Catherine de Brabois , Directrice de SSIAD, Paris, doctorante, Espace éthique/IDF, université Paris Sud

  • Autonomie et protection : une opposition à dépasser

    Intervention du 10 mai 2016 dans le cadre du réseau "Situations de handicap"

    Publié le : 08/11/2016 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • L’hospitalité : un droit, un devoir ?

    J’apprenais il y a peu, l’arrivée de réfugiés sur une commune proche de mon lieu de vie, suite au démantèlement du camp de Calais. N’ayant jusqu’à ce jour jamais approché de près cette question, mais loin d’y être indifférente, le thème de la soirée de ce 9 novembre, m’offre l’occasion de partager ces quelques réflexions. J’aurais pu m’appuyer sur l’accompagnement de la vulnérabilité en fin de vie dans le soin. Je pense que mon écrit récent dans le cadre du mémoire d’éthique, me conduit plus facilement à m’exprimer sur ce sujet.

    Publié le : 10/11/2016 | Auteur : Sylvie Guitton , Consultante Formatrice

  • La chambre d’en face : La surprise de l’amour

    "En réaffirmant la suprématie des émotions comme sources de richesse chez un individu fut-il malade, le réalisateur Michael Noer convoque ces fameuses « capacités restantes » autour desquelles peut s’organiser une prise en charge personnalisée pour les malades atteints d’Alzheimer."

    Publié le : 11/01/2017 | Auteur : Monique Charron , Rédactrice médicale et chroniqueuse culturelle

  • Humaniser et se parler

    Publié le : 01/05/2016 | Auteur : Bernard Meile , Membre d'Advocacy-France

  • Sentiment de honte et risque d’isolement

    "C’est en reconnaissant les questions et les demandes des personnes qui nous sont confiées, en soutenant leur désir de vivre, en leur offrant quand cela est possible l’accès à la recherche fondamentale, que nous pourrons échapper au monde des choses, retrouver le sens de l’humain au cœur d’une relation réinventée jour après jour et défendre les valeurs de la démocratie pour chacun, par-delà la maladie."

    Publié le : 29/08/2016 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans

  • Que s’est-il passé pour que nous en soyons arrivés là ?

    "Car s’il s’agit de faire de la médecine, de traiter de la même façon, par des protocoles comme en oncologie, en cardiologie, par des stratégies thérapeutiques, une crise « de violence » nécessite d’être maîtrisée, d’être médiquée, de la même façon que l’on attache un malade inconscient pour qu’il n’arrache pas sa perfusion, on va attacher un malade psychiatrique le temps qu’il se calme. Aucune nécessité de tenter de le contenir en le maintenant physiquement, en le touchant, en lui parlant, en restant auprès de lui."

    Publié le : 15/11/2016 | Auteur : Paul Machto , Psychiatre honoraire des hôpitaux, Psychanalyste

  • Médecine : les relations humaines vont-elles devenir une option payante ?

    « Le temps c’est de l’argent » : cette maxime déjà bien connue dans l’économie de services — pensez au regard exaspéré des serveurs dans certains restaurants si vous n’avez pas le bon goût de commander rapidement ! — est resté un tabou absolu quand on parle des métiers du soin et de la médecine. Pourtant, la standardisation du soin, sa spécialisation qui transforme les soignants en techniciens, et l’individualisme croissant des patients peuvent faire imaginer un soin dans lequel la relation humaine serait devenue une simple perte de temps. Mais pouvons-nous vraiment penser un malade sans entourage et une médecine sans relations ? C’est le débat qui a été soulevé le 14 novembre 2016 entre le sociologue Sebastian J. Moser et le philosophe Philippe Barrier à l’occasion de la deuxième séance du séminaire de l’Espace éthique Île-de-France « Anticiper le futur de la santé, un enjeu éthique ».

    Publié le : 23/11/2016 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Penser un pluralisme des voies thérapeutiques

    "Mais ne voit-on pas qu'il y a une forme de violence – pour les soignants comme pour les soignés - dans cette standardisation temporelle là où la qualité du soin ne résiste pas à la contrainte d'un rythme ou d'une cadence imposée."

    Publié le : 13/04/2017 | Auteur : Léo Coutellec , Maître de Conférences en épistémologie et éthique des sciences contemporaines, directeur de l'équipe « Recherches en éthique et épistémologie » (Université Paris-Saclay, INSERM, CESP U1018), membre de POLETHIS et de l'Espace éthique/IDF

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