Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 51 à 60 sur un total de 101.
  • Enquête nationale “DemandE” - Formuler une demande d’euthanasie en soins palliatifs

    Publié le : 16/11/2011 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Valeurs originelles d’accompagnement

    Publié le : 04/11/2011 | Auteur : Jean Claude Ameisen , Professeur d’immunologie, université Paris 7, président du Comité consultatif national d’éthique

  • Augmenter la puissance d’exister en fin de vie, ou comment préserver la dignité du mourant

    Provoquer la mort d’autrui, fût-ce à sa demande, ne lui rend pas sa dignité. Comment rendre quelque chose à quelqu’un qui n’existe plus ? De la même façon, pourquoi euthanasier une personne si sa fin de vie est digne encore d’être vécue ? Parce qu’elle le demande, dira-t-on, et qu’elle veut absolument éviter qu’elle ne devienne indigne. Mais quelles sont les limites de ce raisonnement ?

    Publié le : 10/01/2012 | Auteur : Eric Fourneret , Docteur en philosophie

  • Grands prématurés : enjeux éthiques de la décision en néonatologie

    "Doit-on laisser mourir les enfants nés très prématurément, sous prétexte qu'ils ont un risque de survivre handicapé ? Une telle abstention ne s'apparente-t-elle pas à un meurtre par omission ? Et si l'on fait ce choix, comment définir le niveau de risque, le niveau de handicap qui, a priori, autoriserait de ne rien tenter pour sauver ces nouveau-nés ? Peut-on laisser survivre malgré tout ces enfants, ou doit-on arrêter les soins qui leur sont prodigués, c'est-à-dire arrêter leur vie ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michel Dehan , Chef de service de pédiatrie et de réanimation néonatale, hôpital Antoine-Béclère, AP-HP

  • Charte des soins palliatifs

    Présentation des soins palliatifs et de valeurs qui les accompagnent.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Société Française d'Accompagnement et de soins palliatifs (SFAP)

  • L'originalité du débat belge sur l'euthanasie

    Retour sur le débat autour de la légalisation de l'euthanasie en Belgique, avec un exposé des différentes positions et arguments politiques, sociétaux, culturels, religieux ou philosophiques

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Mylène Botbol-Baum , Professeure de philosophie et bioéthique, facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques et Professeure à l'Unité d'éthique biomédicale UCL (Université Catholique de Louvain), Bruxelles

  • L'euthanasie, une fausse solution

    "Il s'agit d'un abus de langage que de faire passer pour un acte de volonté individuelle une décision qui instrumentalise un tiers, en l'occurrence le médecin. De même, il est paradoxal de dénier à la société un droit de regard sur la fin de vie - "c'est ma mort, elle ne concerne que moi ; moi seul doit décider" - quand à travers l'intervention du médecin, c'est la société tout entière qui est convoquée au chevet du malade."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Marianne Gomez , Journaliste à La Croix, rubrique famille, éthique, société

  • Une démarche éthique des réanimateurs

    "Ces décisions difficiles ne sauraient en aucun cas s'affranchir de la responsabilité directe décisionnelle du médecin en charge du patient et de l'avis des soignants impliqués. Laisser à penser que le recours systématique à l'expert extérieur quelle que soit sa fonction s’imposerait (médecin, soignant, éthicien, juriste) traduirait une regrettable confusion entre limitation et arrêt des traitements, et euthanasie."

    Publié le : 17/11/2005 | Auteur : Christian Richard , Chef de service de réanimation médicale, CHU Bicêtre, AP- HP, président de la Société de réanimation de langue française

  • Tous égaux dans la souffrance : la position des Pays-Bas en matière d'euthanasie

    "La loi [sur l'euthanasie aux Pays-Bas] n'offre aucune solution aux personnes qui souffrent de façon insupportable et sans perspective d'amélioration mais qui, pour différentes raisons, n'entrent pas dans son champ. Je veux parler des nouveau-nés souffrant de malformations graves, des patients atteints de psychoses inguérissables, des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer qui, de par la nature même de la maladie, sont considérées comme incapables d'exprimer leur volonté et par là même, exclues du champ de la loi. Une autre catégorie de personnes est venue s'ajouter à cette liste, je veux parler des personnes très âgées qui estiment avoir suffisamment vécu. N'est-il donc pas possible d'envisager une forme satisfaisante d'interruption de la vie pour ces personnes?"

    Publié le : 02/02/2006 | Auteur : Else Borst-Eilers , ancienne ministre de la Santé, du Bien-être et des Sports (de 1994 à 2002), vice-présidente du Conseil de la Santé (de 1985 à 1994) et de la Commission Remmelink

  • Soins palliatifs: d'une éthique de conviction à l'apprentissage de la discussion

    "La vulnérabilité du patient rend nécessaire une interrogation éthique approfondie de nos pratiques soignantes. Ce cheminement ne sera pas facile car derrière cette question de la validité de nos pratiques, c'est évidemment nos motivations profondes et notamment notre désir de puissance sur l'autre qui se trouvent interrogés."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Donatien Mallet , Praticien hospitalier, CH de Luynes

  • Pages