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  • Augmenter la puissance d’exister en fin de vie, ou comment préserver la dignité du mourant

    Provoquer la mort d’autrui, fût-ce à sa demande, ne lui rend pas sa dignité. Comment rendre quelque chose à quelqu’un qui n’existe plus ? De la même façon, pourquoi euthanasier une personne si sa fin de vie est digne encore d’être vécue ? Parce qu’elle le demande, dira-t-on, et qu’elle veut absolument éviter qu’elle ne devienne indigne. Mais quelles sont les limites de ce raisonnement ?

    Publié le : 10/01/2012 | Auteur : Eric Fourneret , Docteur en philosophie

  • Face à la demande des personnes en fin de vie

    Témoignage d'un cadre infirmier et infirmière clinicienne en unité de soins palliatifs, qui revient sur son expérience personnelle d'accompagnement de la personne en fin de vie dans des situations de douleurs.

    Publié le : 04/11/2011 | Auteur : Simone Bevan , Cadre infirmier, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP.

  • Poser un autre regard sur la personne malade

    Texte tiré de l'intervention de Blandine Prevost, fondatrice de l'association AMA DIEM et atteinte par la maladie d'Alzheimer, donnée au cours de l'Université d'été Alzheimer, éthique et société 2011

    Publié le : 12/12/2011 | Auteur : Blandine Prevost , Membre fondatrice de l’association AMA DIEM

  • Le refus d’alimentation de la personne âgée hospitalisée

    Le refus d’alimentation pose en fait le problème de la liberté de l’individu, que ce soit pour le malade qui refuse ce qui peut être considéré comme un soin vital ou pour le soignant qui se trouve devant un dilemme : imposer ou ne pas imposer ce soin.

    Publié le : 24/06/2013 | Auteur : Alain Baulon , Médecin, chef du service de gérontologie 1, hôpital Sainte-Périne

  • Grands prématurés : enjeux éthiques de la décision en néonatologie

    "Doit-on laisser mourir les enfants nés très prématurément, sous prétexte qu'ils ont un risque de survivre handicapé ? Une telle abstention ne s'apparente-t-elle pas à un meurtre par omission ? Et si l'on fait ce choix, comment définir le niveau de risque, le niveau de handicap qui, a priori, autoriserait de ne rien tenter pour sauver ces nouveau-nés ? Peut-on laisser survivre malgré tout ces enfants, ou doit-on arrêter les soins qui leur sont prodigués, c'est-à-dire arrêter leur vie ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michel Dehan , Chef de service de pédiatrie et de réanimation néonatale, hôpital Antoine-Béclère, AP-HP

  • Réalité de la maladie d'Alzheimer : Les soignants s'engagent

    Engagements pluriels des soignants face à la maladie d'Alzheimer, au vécu des patients et des proches, des conditions d'accès au soin et d'accueil des personnes malades.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Claude Ngunuu , Cadre infirmier, centre hospitalier de Lagny/Marne-la-Vallée

  • Les pouvoirs publics s'engagent aux côtés des soignants

    "Prévention ou diagnostic précoce, amélioration de la prise en charge à tous les degrés ou à tous les niveaux d’entrée dans le système institutionnel, anticipation et accompagnement des malades qui sont des malades lourds et de leur entourage, notamment familial, constituent des questions qui recouvrent non seulement les aspects médicaux et soignants mais prennent une dimension éthique."

    Publié le : 10/09/2004 | Auteur : Édouard Couty , Directeur de l’hôpital Saint-Louis

  • Plaidoyer pour la prévention de la violence en institution gérontologique

    "Des situations de violence viennent fracturer la chaîne des soins dans ses aspects techniques mais aussi relationnels. C’est de cette question que nous voudrions débattre ici."

    Publié le : 04/09/2003 | Auteur : Bernadette Le Nouvel , Psychologue clinicienne, hôpital Broca, AP-HP

  • Le regard qu'une société porte sur la personne handicapée

    "L’arrêt P. est tout d’abord la conséquence d’un glissement éthique et juridique déjà ancien qui contribue à faire d’une naissance handicapée une réalité inacceptable pour les parents. Il correspond sans doute globalement au regard qu’une société porte aujourd’hui sur les personnes handicapées. Une telle affaire doit alors être l’occasion pour le corps social de réaliser que la première justification de telles demandes d’indemnisation est représentée par les conditions de vie matérielles et morales accordées aux personnes handicapées dans une situation ordinaire."

    Publié le : 07/08/2003 | Auteur : Marie-Sophie Desaulle , Directrice générale de l'ARS Pays de la Loire, ancienne Présidente de l'Association des Paralysés de France

  • L'information sur la douleur communiquée aux enfants dans le cadre de la douleur chronique ou répétée

    Les pièges du déni de douleur sont encore à l'œuvre aujourd'hui chez les soignants comme d'ailleurs parfois chez les parents. Humiliation pour l'enfant de s'entendre dire : « C'est normal que tu aies mal… », phrase qui ignore et minimise la souffrance. On observe encore une conception qui a été qualifiée de “révisionniste” : « Ce n'est pas si grave ; ça ne fait pas si mal ; ce n'est rien ; c'est fini ; c'est un enfant douillet…»

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Elisabeth Fournier-Charrère , Médecin, Unité Douleur, Département de pédiatrie, CHU de Bicêtre / Jean-Paul Dommergues , Service de pédiatrie, CHU Bicêtre, AP-HP

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