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  • Maladie d'Alzheimer : Comment restaurer un projet d'existence ?

    Entretien réalisé dans le cadre de l’Université d’été Alzheimer, éthique et société 2013

    Publié le : 15/11/2013 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • Université d'été Alzheimer, éthique et société 2013

    Captation intégrale de l'Université d'été Alzheimer, éthique et société 2013 organisée du 17 au 20 septembre à Lille

    Publié le : 15/11/2013

  • Alzheimer : Comprendre la personne dans ce qui l'éprouve

    Entretien réalisé dans le cadre de l’Université d’été Alzheimer, éthique et société 2013

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Mireille Trouilloud , Psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie clinique, Centre de prévention des Alpes, Grenoble

  • Connaître la maladie, soutenir les personnes, mobiliser nos solidarités

    "Quelle serait la signification de cette exigence de savoirs médicaux et scientifiques investis dans la recherche de traitements et de soins personnalisés, sans que ne soient déployées d'autres formes de savoirs ? Ceux qui témoignent du souci de notre société à la cause de l'autre vulnérable dans la maladie."

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Jean Claude Ameisen , Professeur d’immunologie, université Paris 7, président du Comité consultatif national d’éthique

  • Maladie d'Alzheimer, ce que perçoivent les proches

    "Peut-être faut-il que la torture du doute devienne plus insupportable que celle de l'inquiétude pour passer le pas d'une démarche diagnostique ? Et le point de déséquilibre entre ces deux violences est propre à chacun d'entre nous."

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Diagnostic : Droit de savoir, droit de ne pas savoir

    "Comment aborder la situation dans laquelle la personne, après s'être soumise au diagnostic médical, refuse d'en prendre connaissance ? Comment l'aider à affronter sa perte de conscience progressive et inéluctable sans l'informer de la maladie ?"

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Les paradoxes du savoir précoce

    La précocité est devenue un maître-mot, sinon le maître-mot, en matière de maladie d'Alzheimer. Cela est vrai à la fois au plan biologique (avec le diagnostic au stade « pauci-symptomatique ») et au plan médical (avec la notion gériatrique de « fragilité »), mais aussi au plan éthique et juridique (avec l'idée de « planification anticipée des aides et des soins » et la possibilité de désigner un « mandataire de protection future »).

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • Le sens des mots : "Précoce"

    "Parmi tous les mots qui touchent au thème de cette université d'été, celui qui cristallise nos réflexions est celui de « précoce ». Comme un fil d'Ariane, il nous guide sur un terrain complexe plein de difficultés et d'ambiguïtés."

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Ce que signifie cette première confrontation avec la maladie d'Alzheimer

    "Les premiers oublis ou défaillances dans la vie quotidienne, comme éprouvés ou signes annonciateurs de désordres cognitifs et de désarrois psychiques, sont un moment sensible de fragilisation pour la personne. Ils interrogent tout à la fois son sentiment d'identité et son sentiment de cohérence, mais aussi par représentation anticipatrice son devenir probable ou possible."

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Pascale Gérardin , Psychologue clinicienne, CMRR Lorraine, CHU de Nancy

  • Alzheimer : Reconnaître l'expression d'une plainte, l'accompagner, y répondre

    Les expressions de la plainte déposée auprès d'un psychiatre qui a vocation à s'occuper de « personnes âgées » varient au gré de la rencontre singulière entre le patient et son médecin. Elles possèdent néanmoins des fondamentaux communs : chape de la solitude, peur de la mort et tristesse d'abandonner les siens, douleur de vieillir dans son âme et dans son corps, effroi de la rencontre avec ces maladies qui provoquent une dégénérescence du cerveau jusqu'à la perte inéluctable du sentiment de soi, tentation de la dépression et de la régression voire d'une mort volontaire...

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Thierry Gallarda , Responsable d'unité fonctionnelle, praticien hospitalier, Centre d'évaluation des troubles psychiques et du vieillissement, Centre hospitalier Sainte-Anne

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