Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 1 à 10 sur un total de 11.
  • Approche transculturelle de l'éthique biomédicale

    Il existe, d'emblée, un déséquilibre entre le soignant détenteur du pouvoir biomédical, et le soigné amoindri par sa maladie. L'appartenance du patient à une culture différente de celle de son soignant est de nature à apporter une distorsion supplémentaire à leur relation, voire à majorer le déséquilibre de puissance entre les deux parties.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Ali Chadly , Chef de service de médecine légale, droit et éthique de la médecine, hôpital universitaire de Fattouma Bourguiba, Monastir, Tunisie

  • Éthique des pratiques de santé en milieu pénitentiaire

    "La relation entre le soignant et le patient porte les traces des contraintes carcérales. C'est en posant quelques questions essentielles que l'on peut comprendre les difficultés de l'exercice de la médecine en prison."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : C. Rostaing , Sociologue, Faculté d'anthropologie et de sociologie, Université Lumière Lyon II

  • Liberté individuelle et responsabilités collectives dans la vaccination : approche éthique

    Publié le : 06/02/2012 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Respect et présence de l'autre

    "La recherche de la présence à l'autre et de la présence de l'autre constitue le tissu même de notre vie la plus quotidienne. Sans elle, nous serions enfermés dans une errance solitaire, synonyme de détresse et de mort. Elle anime notre vie familiale, notre vie de travail, notre vie de loisirs, notre vie intellectuelle et notre vie politique."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Bernard Matray , Rédacteur en chef de la revue Laennec, accompagnateur

  • L’idée de partage, un nouvel esprit éthique

    "Partager une joie, c’est transcender la vision d’une humanité divisée, fragmentée ; d’une humanité constituée d’individus atomisés jouant chacun pour soi sa partie ou son rôle sur la scène du théâtre social. Comme l’a montré en son temps Spinoza, partager c’est alors l’un par l’autre, dans cette union affective autant que rationnelle, amplifier le sentiment d’une commune humanité."

    Publié le : 16/05/2006 | Auteur : Dominique Lecourt , Philosophe, Président du Comité d’éthique de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), professeur de philosophie à l’Université de Paris 7, directeur du Centre Georges Canguilhem

  • Le caractère humain d’un échange qui va respirer

    Publié le : 12/01/2009 | Auteur : Vincent Meininger , Professeur de médecine, Fédération des maladies du système nerveux. groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, Paris

  • Les incertitudes de l'interprétation

    « Les incertitudes de l'interprétation... ».. Mais, est-ce interpréter ou traduire ? Doit-on interpréter ou traduire les paroles des patients, leurs expressions non verbales ? Leur dit et leur non-dit ?

    Publié le : 27/09/2013 | Auteur : Henri-Pierre Cornu , Chef de service gériatrie-soins palliatifs, Hôpital René Muret AP-HP, 93270 Sevran Groupe de réflexion « Éthique et société – Vieillesse et vulnérabilités », Espace éthique /AP-HP / Marie-Hélène Romieu , Enseignante Lettres modernes, Collège Jacqueline de Romilly, 77700 Magny le Hongre

  • L’attention portée aux personnes dans l’incapacité de consentir

    "Bien évidemment il ne saurait être acceptable qu’au prétexte de la vulnérabilité et d’une accessibilité aléatoire au consentement éclairé, certaines maladies soient exclues de la recherche et des espoirs d’avenir qu’elle porte. Pourtant la plus grande vigilance s’impose tant les tentations sont nombreuses de dévier de la droiture : intérêts financiers qu’il ne faut pas avoir la naïveté d’occulter, mais aussi espérance de laisser son nom à la postérité comme le découvreur d’un traitement révolutionnant l’histoire d’une maladie, inhérente à l’orgueil de certains…. "

    Publié le : 29/07/2014 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Que s’est-il passé pour que nous en soyons arrivés là ?

    "Car s’il s’agit de faire de la médecine, de traiter de la même façon, par des protocoles comme en oncologie, en cardiologie, par des stratégies thérapeutiques, une crise « de violence » nécessite d’être maîtrisée, d’être médiquée, de la même façon que l’on attache un malade inconscient pour qu’il n’arrache pas sa perfusion, on va attacher un malade psychiatrique le temps qu’il se calme. Aucune nécessité de tenter de le contenir en le maintenant physiquement, en le touchant, en lui parlant, en restant auprès de lui."

    Publié le : 15/11/2016 | Auteur : Paul Machto , Psychiatre honoraire des hôpitaux, Psychanalyste

  • La contention, lutte de places par tiers inerposés ?

    "Mais jugulera-t-on son propre effroi par l’inversion du rapport de forces : en étouffant les voix, en empêchant les gestes ? Le délire, c’est l’inconscient qui parle… quand il en a encore les moyens"

    Publié le : 07/12/2016 | Auteur : Sylviane Grandpierre , Ancienne enseignante-chercheur

  • Pages