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  • Soigner les personnes atteintes de démence : un vrai métier

    L'auteur revient, à travers ce texte de 2000, sur les spécificités particulières de la maladie d'Alzheimer, pour les aidants comme pour les professionnels de santé.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Robert Moulias , Professeur de médecine, président de l’Association internationale de gérontologie, région Europe, coordonnateur du groupe de recherche et de réflexion Éthique et vieillesse, Espace éthique/AP-HP

  • Les défis posés par les maladies rares

    Dans le domaine de la maladie rare, la dictature du diagnostic est immense. Les malades en attendent la confirmation de leur maladie qui, tant qu’elle n’est pas objectivable dans leur corps est toujours entachée du soupçon de siéger dans leur âme.

    Publié le : 09/09/2010 | Auteur : Olivia Gross , Présidente de l'association française des dysplasies ectodermiques, présidente de la Fédération des Maladies Orphelines (2005 à 2009)

  • L’interface homme/animal dans la préparation des pandémies grippales

    Publié le : 02/09/2010 | Auteur : Frédéric Keck , Anthropologue, Groupe de sociologie politique et morale, (EHESS-CNRS)

  • Valeurs originelles d’accompagnement

    Publié le : 04/11/2011 | Auteur : Jean Claude Ameisen , Professeur d’immunologie, université Paris 7, président du Comité consultatif national d’éthique

  • Grands prématurés : enjeux éthiques de la décision en néonatologie

    "Doit-on laisser mourir les enfants nés très prématurément, sous prétexte qu'ils ont un risque de survivre handicapé ? Une telle abstention ne s'apparente-t-elle pas à un meurtre par omission ? Et si l'on fait ce choix, comment définir le niveau de risque, le niveau de handicap qui, a priori, autoriserait de ne rien tenter pour sauver ces nouveau-nés ? Peut-on laisser survivre malgré tout ces enfants, ou doit-on arrêter les soins qui leur sont prodigués, c'est-à-dire arrêter leur vie ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michel Dehan , Chef de service de pédiatrie et de réanimation néonatale, hôpital Antoine-Béclère, AP-HP

  • Réalité de la maladie d'Alzheimer : Les soignants s'engagent

    Engagements pluriels des soignants face à la maladie d'Alzheimer, au vécu des patients et des proches, des conditions d'accès au soin et d'accueil des personnes malades.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Claude Ngunuu , Cadre infirmier, centre hospitalier de Lagny/Marne-la-Vallée

  • Questionnement éthique autour de la prise en soin

    Que changent les patients atteints par la maladie d'Alzheimer aux méthodes, habitudes et certitudes des soignants ? Quels moyens employer pour permettre une véritable rencontre ?

    Publié le : 09/05/2011 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans

  • Les significations de l'attente et du soin

    Trop longtemps, le patient en tant que personne a été en grande partie, et assez paradoxalement, exclu du champ de la pratique médicale, ceci dans le souci de travailler à partir de critères objectifs. Il s'agissait alors, a-t-on dit, d'une médecine de la maladie plus que d'une médecine du malade qui en tant que sujet se trouvait donc négligé.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Christian de Maricourt , Médecin-chef, hôpital Maritime de Berck, AP-HP

  • L’annonce du diagnostic de schizophrénie

    "Comme la plupart des spécialités médicales, la psychiatrie est actuellement confrontée à la nécessité et au devoir d’informer de façon loyale les patients. L’information et l’annonce du diagnostic posent cependant, en matière de schizophrénie, des problèmes particuliers. Elles se heurtent à des réticences tenant à des facteurs plus ou moins pertinents."

    Publié le : 15/05/2006 | Auteur : Béatrice Laffy-Beaufils , Chef du service de Psychiatrie, hôpital Corentin Celton, AP-HP

  • Les enjeux éthiques en oncologie pédiatrique

    "En oncologie, comme dans les autres spécialités médicales, le premier des droits du patient, qu’il soit adulte ou enfant, est celui d'être soigné dans les meilleures conditions de qualité et de sécurité. Pour beaucoup, cette exigence semble relever de l’évidence et constituer, en soi, un absolu non discutable. En fait, son caractère suffisamment abstrait a conduit à ce qu’elle serve de prétexte à des démarches ou des politiques de soins très différentes."

    Publié le : 17/06/2008 | Auteur : Jean-Pierre Vannier , Professeur, chef de service d’oncologie pédiatrique, hôpital Charles Nicolle, CHU de Rouen

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