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  • Trouble de conscience permanent et législation sur la fin de vie : l’incertitude comme boussole

    En somme, l’incertitude et le doute restent probablement les seules boussoles raisonnables de l’arrêt des thérapeutiques en réanimation chez ces patients souvent jeunes traumatisés, sans maladie sous-jacente, sans directive anticipée ni personne de confiance désignée.

    Publié le : 07/07/2023 | Auteur : Anne-Claire de Crouy , Médecin chef de service de médecine physique et de réadaptation, CMPA, Neufmoutiers / Jonas Pochard , Médecin Anesthésiste Réanimateur, département d’Anesthésie-Réanimation, Hôpital Bicêtre - APHP – Université Paris Saclay

  • La Loi Leonetti confrontée aux spécificités des patients EVC PCR

    "Une dénaturation du diagnostic de chronicité en un verdict de condamnation témoigne d’une évidente prise de distance avec l’humanisme médical qui se retrouve déstabilisé par le retour en force de la question de l’euthanasie. Cet emballement compromet l’équilibre de la loi Leonetti et son refus de l’acharnement dans toutes ses acceptions : thérapeutiques comme euthanasiques."

    Publié le : 28/04/2014 | Auteur : Marc-André Ceccaldi , Avocat aux Barreaux de Marseille et Paris

  • Violence et solitude dans l'expérience des fins de vie qui se prolongent

    "Nous nous heurtons à un paradoxe qui dérange : en tant que membres de la famille, proches ou soignants, nous ne pouvons que souhaiter qu'un patient ne souffre pas, qu'il éprouve le moins d'inconfort possible, qu'il n'ait plus ni douleur physique, ni douleur morale ; mais comment ne pas être désorientés, désemparés, si nous ne savons plus ce qui soulage, ce qui fait du bien au patient ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Silla Consoli , Unité médico-psychologique, hôpital Broussais, AP-HP

  • Des soignants extrémistes de l'extrême

    "Soigner un patient en état végétatif persistant, signifie forcément se questionner sur des concepts existentiels qui prennent alors toute leur réelle dimension. D'où la nécessité d'une réflexion partagée au sein de l'équipe et de l'organisation d'un espace de parole. La réflexion se doit d'être insufflée par le cadre infirmier et le médecin responsable de l'unité de soins. Elle repose sur des valeurs partagées par les membres d'une équipe pluridisciplinaire."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marie-Christine Guénin , Cadre supérieur infirmier, hôpital Maritime Berck, AP-HP