Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 1 à 10 sur un total de 88.
  • Covid-19 : Quelques questions éthiques et épistémologiques soulevées par les essais de médicaments

    "En situation de crise comme celle que nous traversons actuellement, et avec l'expérience de crises passées (sida, Ebola…), un cadre assoupli doit permettre de connaître plus rapidement et plus efficacement quelle est la meilleure réponse médicamenteuse. Cependant, le point de bascule entre les précautions qui sont habituellement en usage et la décision d'administrer un traitement expérimental à une large proportion de personnes touchées dépend de chaque crise.'

    Publié le : 14/04/2020 | Auteur : Vincent Israel-Jost , Chercheur en épistémologie, Laboratoire d'Excellence DistAlz, CESP / Espace éthique IDF

  • La personne malade et son entourage : anticiper, faire face au quotidien dans la durée

    "Vivre cette maladie, c’est aussi éprouver les risques pour le couple et conjurer ce risque : « la maladie nous a détruits, mais elle ne détruira pas notre couple ! » Comment rester le conjoint quand l’essentiel des gestes sont ceux d’un soignant ?"

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • Accepter : entre lutte et résignation

    "Cette proximité devient vite insupportable mobilisant une énergie considérable pour la corriger, la faire taire, l’évacuer de l’esprit : vigilance, entrainement sans relâche, devoir, prudence, être un bon aidant, être un bon patient, être fort, leur prouver à tous, combattre, survivre…"

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • CrowdMed : partage de l'expertise médicale ou marchandisation du diagnostic médical ?

    "Le principe de Crowdmed consiste à mettre en relation un cas médical déposé par un patient sur la plateforme internet avec une foule de « détectives médicaux » qui chacun propose son diagnostic ou pari à propos d’un diagnostic."

    Publié le : 04/05/2015 | Auteur : Léo Coutellec , Maître de Conférences en épistémologie et éthique des sciences contemporaines, directeur de l'équipe « Recherches en éthique et épistémologie » (Université Paris-Saclay, INSERM, CESP U1018), membre de POLETHIS et de l'Espace éthique/IDF

  • Un détail de taille : la bientraitance

    Intervention du mardi 3 février 2015 au Forum de bioéthique, Strasbourg

    Publié le : 15/02/2015 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Que comprendre de l’acquittement de Nicolas Bonnemaison ?

    "Si la place de Nicolas Bonnemaison n’est pas parmi les criminels de droit commun est-elle pour autant auprès de personnes forcées de s’en remettre à la médecine à l’extrême fin de leur vie ? Est-elle sous les applaudissements qui ont suivi l’annonce du verdict ?"

    Publié le : 27/06/2014 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Du procès au code de Nuremberg : principes de l’éthique biomédicale

    L’importance du Code de Nuremberg conçu pour juger les crimes commis par des médecins sur des déportés tient à ce qu’il a constitué le point de départ de la prise de conscience des dangers des progrès de la science avec les dérives qu’elle peut susciter, et de la nécessité de l’encadrer par un certain nombre de règles.

    Publié le : 19/05/2014 | Auteur : Bruno Halioua , Inserm, Département de recherche en éthique Université Paris-Sud-Paris-Saclay, auteur de Le procès des médecins de Nuremberg, Toulouse, érès, 2018 (réédition)

  • A propos de la dévalorisation par les mots dans la maladie d'Alzheimer

    A la question de savoir si nous avons tendance à utiliser des termes plutôt négatifs, dévalorisants, dans le cadre de l’Alzheimer, plus que dans d’autres circonstances, la réponse est oui. On s’intéressera moins aux usages particuliers dans le cadre du soin, qui peuvent aller de la familiarité excessive à la violence verbale, qu’aux connotations contenues dans le langage officiel lui même, administratif ou médical: c’est-à-dire celui où n’intervient pas une intention personnelle, une réaction affective ou autre.

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Défense et illustration de l'éthique

    "C’est précisément parce que nous tenons l'éthique pour beaucoup plus qu’une mode et beaucoup mieux qu’un ornement que nous voudrions ici la défendre, et tenter d’en dire la belle nécessité. Conçue comme vigilance, comme aiguillon, comme inquiétude l’éthique ne nous paraît pas comme chose extérieure au soin mais comme son âme même."

    Publié le : 12/02/2014 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • Appeler chacun au questionnement éthique

    "La médecine ne saurait procéder de la seule volonté de puissance ou d’une logique unique de rentabilité, ni faire abstraction du temps long de la relation à l’autre. C’est pourquoi le soin et le prendre soin sont intiment liés."

    Publié le : 11/02/2014 | Auteur : Alain Cordier , Membre du collège de la Haute autorité de sante (HAS), membre du Comité consultatif national d’éthique, ancien directeur général de l’AP-HP, ancien président du conseil de la CNSA

  • Pages