Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 1 à 10 sur un total de 32.
  • Approche transculturelle de l'éthique biomédicale

    Il existe, d'emblée, un déséquilibre entre le soignant détenteur du pouvoir biomédical, et le soigné amoindri par sa maladie. L'appartenance du patient à une culture différente de celle de son soignant est de nature à apporter une distorsion supplémentaire à leur relation, voire à majorer le déséquilibre de puissance entre les deux parties.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Ali Chadly , Chef de service de médecine légale, droit et éthique de la médecine, hôpital universitaire de Fattouma Bourguiba, Monastir, Tunisie

  • Confronté à l’annonce du handicap

    "Lorsque la pathologie vient briser l'espoir de perfection que l’enfant représentait (on ne veut plus « un » enfant mais « tel » enfant), celle-ci apparaît comme une limitation insupportable. Elle vient affirmer douloureusement une différence et une dévalorisation. La culpabilité qui en naît peut générer les comportements les plus divers et contradictoires."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Joëlle Janse-Marec , Médecin

  • Reconnaître l’autre

    Publié le : 12/06/2009 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Grands prématurés : enjeux éthiques de la décision en néonatologie

    "Doit-on laisser mourir les enfants nés très prématurément, sous prétexte qu'ils ont un risque de survivre handicapé ? Une telle abstention ne s'apparente-t-elle pas à un meurtre par omission ? Et si l'on fait ce choix, comment définir le niveau de risque, le niveau de handicap qui, a priori, autoriserait de ne rien tenter pour sauver ces nouveau-nés ? Peut-on laisser survivre malgré tout ces enfants, ou doit-on arrêter les soins qui leur sont prodigués, c'est-à-dire arrêter leur vie ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michel Dehan , Chef de service de pédiatrie et de réanimation néonatale, hôpital Antoine-Béclère, AP-HP

  • Des rites pour se situer

    "Ce qui se déroule dans le monde ou dans son propre corps, l'homme cherche à le maîtriser, à l'apprivoiser, à lui donner du sens. Il peut s'y prendre de deux manières : techniquement (c’est ce dont s’occupe la médecine pour les événements biologiques) ou magiquement. Dans la seconde hypothèse, parallèlement à l'ordre cosmique, biologique ou social, il va construire un ordre rituel qui vient les doubler et relève entièrement d’une « construction » humaine."

    Publié le : 17/11/2005 | Auteur : Catherine le Grand-Sébille , Socio-anthropologue, maître de conférences, Faculté de Médecine Lille 2, membre du conseil scientifique de l’Observatoire Éthique et soins hospitaliers de l’AP-HP

  • Affections mortelles et qualité de la prise en charge

    Le malade - homme tout à fait différent du bien portant parlant d'une éventuelle maladie qui pourrait l'atteindre -, voit le monde qui l'entoure s'effondrer. Il a besoin, et ceci tout médecin le sait pertinemment, de transférer sa maladie sur quelqu'un capable de la porter pour lui, avec lui.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marc Zerbib , Médecin, service d’urologie, hôpital Cochin

  • L'originalité du débat belge sur l'euthanasie

    Retour sur le débat autour de la légalisation de l'euthanasie en Belgique, avec un exposé des différentes positions et arguments politiques, sociétaux, culturels, religieux ou philosophiques

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Mylène Botbol-Baum , Professeure de philosophie et bioéthique, facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques et Professeure à l'Unité d'éthique biomédicale UCL (Université Catholique de Louvain), Bruxelles

  • Les soignants seront-ils les nouveaux acteurs des rites funéraires ?

    "En cinquante ans, la mort est devenue un cauchemar que l'on chasse en vain, encore est-elle admise dans la lucarne télévisuelle, mais là, il s'agit des autres, très loin… Réapprendre à accepter la mort, voilà peut-être une idée à saisir au pied de la lettre : on peut parler de la mort dès l'école maternelle, quand les enfants se tirent dessus en pointant le doigt…"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marie-Frédérique Bacqué , maître de conférences à l'Université de Lille 3, psychologue àl'Association Vivre son deuil

  • Soins palliatifs: d'une éthique de conviction à l'apprentissage de la discussion

    "La vulnérabilité du patient rend nécessaire une interrogation éthique approfondie de nos pratiques soignantes. Ce cheminement ne sera pas facile car derrière cette question de la validité de nos pratiques, c'est évidemment nos motivations profondes et notamment notre désir de puissance sur l'autre qui se trouvent interrogés."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Donatien Mallet , Praticien hospitalier, CH de Luynes

  • La maladie et la manière d’être en Afrique noire

    Publié le : 26/09/2008 | Auteur : Didier Ouédraogo , Professeur de philosophie, master Éthique, science, santé et société, Département de recherche en éthique, université Paris-Sud 11

  • Pages